Le père du garçon l'a envoyé sur le deuxième pont pour récupérer une bière dans le seau du capitaine.

Le capitaine a refusé en colère et a dit au garçon de remettre la bière, mais le garçon pensait qu'il plaisantait, selon les passagers.

Le capitaine s'est mis en colère et a saisi le collier du garçon, le cassant, ce qui a incité Lopeparo, son oncle, à commencer à crier et à crier après le capitaine et son second, ont déclaré les témoins.

Les autres passagers ont séparé les deux hommes, et le capitaine en colère a commencé à boire beaucoup de bière et de bière, ont raconté des témoins à des policiers.

Les passagers ont déclaré qu'ils affirmaient que Bailey fumait un «joint» et l'un d'entre eux avait affirmé croire l'avoir vu renifler de la cocaïne.

À 14h45, cinq heures avant l'heure prévue, les passagers ont déclaré avoir demandé à Bailey de rentrer à terre.

Lorsque le premier lieutenant a tenté de calmer le capitaine, des témoins ont déclaré que Bailey était de plus en plus intoxiqué et avait commencé à conduire le bateau en rond au lieu de rentrer à terre.

 

 

De 18 heures à une heure du matin, le commandant de bord a continué à boire de la drogue et à faire tourner le bateau en rond, faisant semblant de l'emmener à terre, ont indiqué les passagers.

À un moment donné, un passager a déclaré que Bailey l'avait appelé à la deuxième étape du pont en disant: «J'ai un diamètre de 9 mm et si je le souhaite, je vais vous mettre une balle dans la tête et vous laisser ici. 

Les passagers ont déclaré que le commandant de bord avait tiré le pistolet dans l'eau six ou sept fois.

Les passagers terrifiés ont utilisé des compas sur leur téléphone portable pour confirmer que Bailey les faisait tourner en rond, et ont envisagé de charger le pont pour prendre le contrôle du bateau.

Cependant, Bailey étant isolé sur le deuxième pont et muni d’un pistolet, ils ont décidé qu’il n’y avait aucun moyen de monter à l’échelle sans risquer de se faire tirer dessus.

 

 

Au lieu de cela, le passager a envoyé des SMS discrets aux membres de la famille à terre, leur demandant instamment de composer le 911 et la Garde côtière.

Lorsque Bailey a finalement amené le bateau sur le quai à 1 heure du matin, des dizaines de policiers et de gardes-côtes de Sarasota attendaient.

La police a déclaré que Bailey avait donné un coup de pied à la porte d'un véhicule de police et avait tenté d'empêcher les policiers de fermer la porte lorsqu'il était en détention.

Le premier lieutenant, dont les passagers disent avoir tenté d'intervenir en vain, a divisé la capture du vivaneau rouge du groupe et la leur a livrée le lendemain. 

Bailey est actuellement libre sur caution de 620 $ sur les accusations Sarasota. Il n'a pas pu être contacté pour commenter par DailyMail.com.

La Garde côtière, qui enquête sur les crimes fédéraux commis dans la juridiction maritime des États-Unis, poursuit son enquête.